témoignages

J’ai connu l’association quand ma fille commençait son CE1. J’étais complètement perdue entre l’école, l’orthophoniste, mes attentes et ma fille qui ne savait pas lire et écrire. Je suis passée devant le stand Apedys91 à Palaiseau lors du village des associations. Des adhérentes m’ont écoutée et conseillée. C’était il y a 9 ans. Je continue à me sentir épaulée grâce à cette association et maintenant c’est moi qui donne aussi des conseils suite au chemin que j’ai parcouru avec ma fille. A certains moments, il a fallu se battre pour faire reconnaître ses troubles. Je me suis toujours sentie forte grâce à Apedys91 car je sais que je ne suis pas un petit soldat isolé, si besoin j’ai du renfort qui est toujours prêt ! Ma fille est aujourd’hui en seconde, elle a trouvé ses stratégies d’apprentissage. Elle est prête à affronter le Bac l’an prochain !

L.M.

Mon adhésion et ma participation pendant 15 ans à l’association APEDYS 91 m’ont permis de mieux connaitre le trouble de la dyslexie dont était atteinte ma fille. J’ai pu la comprendre, l’aider et la soutenir tout au long de sa scolarité même pendant ses études supérieures. Grâce à APEDYS 91 j’ai eu de l’audace et beaucoup d’espoir pour son avenir, alors qu’au départ de sa scolarité dès que ses difficultés se sont révélées, j’étais plutôt pessimiste et complètement perdue. Le partage avec d’autres parents, les informations reçues et les outils m’ont appris à être confiante et j’ai pu accompagner ma fille vers une réussite heureuse.

Sophie V.

J'ai connu APEDYS91 au village des associations à Palaiseau. C'est une association qui m'a permis de rencontrer des familles avec les mêmes problématiques que mes enfants et aussi de nous aider pour bien remplir les PAP et les dossiers de la MDPH. Grâce aux intervenants, on peut apprendre à utiliser différents outils pour aider au mieux nos enfants.

S., maman de deux garçons dyspraxiques et dyslexiques

Aménagements aux examens

amenagement aux examens

à lire sur Studyrama

J'ai connu l'association APEDYS 91 par le biais d'un parent qui avait des enfants Dys. Sur ses conseils, je me suis rendu à une conférence et là surprise, j'ai découvert que l'on décrivait l'exacte situation de mon enfant ! D'emblée, j'ai compris l'intérêt que m'offrait ce partage d'expériences. J'avais lu tout ce qui était publié sur les Dys mais passer, de la littérature aux cas concrets, à cette mutualisation d'expériences et aux échanges a été décisif pour moi. Et découvrir les Dys ça a été un électrochoc à la fois pour mieux accompagner mon enfant mais aussi pour moi apprendre à mieux connaître mes propres "dysfonctionnements".

affiche sa va
nos Dys célèbres
Guillaume de Tonquédec
Comédien

Le comédien de théâtre, acteur de télévision préféré des Français, couronné par un César, raconte ses difficultés mais aussi le travail, l’enthousiasme, les rencontres qui lui ont permis de les dépasser. C’est cette lutte silencieuse à l’issue heureuse qu’il souhaite partager, pour que tous les complexés, les dyslexiques, les timides apprivoisent à
leur rythme les livres.

Guillaume de Tonquedec publie ”Les portes de mon imaginaire”

Jean-Louis Etienne
Médecin, aventurier
« À cette époque, on ne parlait pas de dyslexie, j’étais juste étiqueté comme un mauvais élève. »
Interview par CFDT
Isabelle nanty
Comédienne
« Cette dyslexie a été un vrai problème dans ma vie et dans mon métier.
Stephane Plazza
Stéphane Plazza
Comédien, agent immobilier

Quand il évoque sa dyspraxie, Stéphane Plaza conclut : « Les handicaps sont une forme de singularité qui met toujours en valeur tant d’autres qualités insoupçonnées ! Être différent signifie simplement que vous êtes assez courageux pour être vous-même».

Interview Santé magazine

Daniel Pennac
Daniel Pennac
écrivain

« Le fait est. Je ne captais ni n’imprimais. Les mots les plus simples perdaient de leur substance dès qu’on me demandait de les envisager comme objet de connaissance. (…) Et je répétais le mot, inlassablement, comme un enfant qui n’en finit pas de mâcher, mâcher et ne pas avaler, répéter et ne pas assimiler, jusqu’à la totale décomposition du goût et du sens, mâcher, répéter, Jura, Jura, jura, jura, jus, rat, jus, ra ju ra ju ra jurajurajura, jusqu’à ce que le mot devienne une masse sonore indéfinie, (…) un bruit pâteux d’ivrogne dans une cervelle spongieuse. » C’est ainsi que se décrit Daniel Pennac, dans son Chagrin d’école : incapable d’apprendre, « un cancre sans fondement historique, sans raison sociologique, sans désamour : un cancre en soi. »